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Se mettre aux timelapses

Si vous vous émerveillez à chaque nouveau timelapse que vous regardez, que vous disposez d’un appareil photo numérique équipé d’un intervallomètre, et que vous envisagez de sauter le pas, vous êtes au bon endroit !

Car, avant de me lancer, j’ai évidemment écumé le net à la recherche de didacticiels bien fichus. Et force est de constater qu’il y a de la matière, malheureusement exclusivement en anglais.

Pour un appréhender les bases du timelapse, commencez par regarder cette vidéo de Vincent Laforet.

Pour une présentation plus détaillée du matériel et des étapes indispensables pour produire un bon timelapse, poursuivez avec cette série signée Preston Kanak.

Raw Timelapse Tutorial Introduction

Raw Timelapse Tutorial Part I: Kit breakdown

Raw Timelapse Tutorial Part II: Story, scheduling and scouting

Si vous n’avez que le mot HDR à l’esprit, sachez que Dustin Farrell à bien dégrossi la chose dans cette vidéo. Il a également signé une autre vidéo couvrant la réalisation complète d’un timelapse.

Si vous voulez maîtriser le saint Graal, regardez cette vidéo de Preston Kanak sur la réalisation de timelapses de coucher/lever de soleil.

Et si une fois vos clichés pris, vous n’avez pas la moindre idée de comment en faire une vidéo, ce didacticiel signé Tom Baurain est un excellent point de départ !

 

Avant de vous laisser vous débrouiller, voici deux trois petits trucs que j’ai appris en route :

1. Shooter un timelapse prend pas mal de temps, même quand on a déjà une idée précise de ce qu’on veut, et qu’on a trouvé le lieu idéal pour ça. La météo à elle seule peut retarder énormément votre tournage.

2. Shooter un timelapse nécessite plusieurs cartes mémoire et batteries, surtout quand on shoote en RAW, sans oublier un trépied et une tête ultra stables.

3. Bien que l’on puisse monter son timelapse sur Windows (Live) Movie Maker ou Quick Time, pour contrôler véritablement la vitesse de lecture du timelapse, mieux vaut se tourner vers Adobe Premiere Elements, ou mieux encore Adobe Premiere Pro. Pour les effets spéciaux plus complexes (et seulement pour ces derniers), Adobe After Effects reste le must.

 

Et pour finir, voici un exemple de ce qu’un débutant peut faire avec un reflex, un intervallomètre, Windows Live Movie Maker, et quasiment aucune compétence !

Amusez-vous bien !

 

 

 



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