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The Booth at the End

Booth

J’ai pour habitude de parler de séries qui viennent de sortir, à peine le pilote regardé. Mais aujourd’hui, j’ai décidé de revenir sur une petite série que j’ai regardée intégralement il y a quelques années… avec le même plaisir du début à la fin !

Le pitch de The Booth at the End est on ne peut plus simple : un homme qui passe ses journées dans un diner, peut réaliser vos souhaits les plus fous, à condition que vous accomplissiez la tâche qu’il vous donne, et que vous lui racontiez comment les choses se sont passées.

A partir de là, deux saisons durant (10 épisodes de 20 minutes chacun au total), on croise des gens de tout âge qui s’assoient tour à tour sur cette banquette pour corriger quelque chose dans leur vie : guérir un mari malade, rendre un père heureux, entendre de nouveau la voix de Dieu, etc. Au fur et à mesure des épisodes, on découvre comment ces missions isolées s’entrecroisent, et on se pose de plus en plus de questions sur l’homme qui les donne.

Une chose est sûre, le génie de cette série, c’est de tout faire passer par le dialogue entre ce « faiseur de miracle » et ses clients, car toutes les scènes se passent systématiquement dans un diner. Un génie que ne reniera pas le producteur, puisque cela a dû sensiblement réduire le budget nécessaire pour boucler cette série.

La bonne nouvelle, c’est que The Booth at the End est très bien réalisé, et que les acteurs sonnent tous justes.

L’autre bonne nouvelle, c’est que la production n’a pas trop tiré sur la corde, puisqu’il n’y a que deux saisons, et qu’elles font bien le tour du sujet.

Et si je vous dis que le créateur de cette série n’est autre qu’un ancien auteur de jeu de rôles américain, vous me croyez ?

 



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