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The Flash

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On a tous nos plaisirs coupables… Et, bien souvent, c’est à une sacrée dose de hasard qu’on les doit.

Parce qu’en y réfléchissant bien, rien ne me prédestinait à regarder la série The Flash. Mais alors, RIEN DU TOUT !

Pourquoi ? Eh bien, tout simplement parce que j’ai toujours été un fan du Marvelverse, et que le seul héros qui ait jamais trouvé grâce à mes yeux chez DC Heroes n’est autre qu’un mec tout de noir vêtu sans le moindre super-pouvoirs. Bref, aucune chance que je m’intéresse à un jeune candide aussi rapide soit-il !

Jusqu’à ce qu’un ami de longue date, « tueur » de facteurs nivernais à ses heures perdues (c’est une longue histoire où les guillemets ont toute leur importance !), me prenne par les sentiments… Comme je respecte son avis autant que le café en grain préparé par mon torréfacteur, je me suis donc plongé dans la première saison !

Et ?

Trois épisodes auront suffi à me convertir ! A tel point, que j’ai comblé mon retard comme l’éclair, tant et si bien que je suis désormais contraint d’attendre la sortie des nouveaux épisodes de la deuxième saison.

Comme la bande-annonce ci-dessous présente assez bien la situation, je vais me concentrer sur ce qui me plaît VRAIMENT dans The Flash.

Pour commencer, ce sont les personnages principaux : Barry Allen (le Héros vraiment prêt à tout pour sauver son prochain, même des méchants avérés), Harrison Wells (le mentor aux innombrables secrets), Cisco Ramon (le sidekick avec les meilleurs punchlines et surnoms de super-vilains) et Felicity Smoak (la maladroite sidekick de Arrow, qui aide occasionnellement l’équipe de Flash). Si je suis moins convaincu par le reste de l’équipe (Iris West, Joe West, Caitlin Snow, Eddie Thawne, etc.), c’est que je leur trouve moins de relief ou des côtés beaucoup trop classiques. Il n’empêche qu’au cours des deux saisons, les choses s’améliorent à mesure que l’intrigue les fait rentrer de plain-pied dans l’équation.

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Au rang des ennemis, le Reverse Flash écrase tous les autres super-vilains, même si avec le temps, Leonard Snart, alias Captain Cold, a fini par me plaire malgré son côté volontairement surjoué (je ne dois pas être le seul vu la fréquence à laquelle il revient tout au long des deux saisons).

En ce qui concerne l’intrigue, elle regorge de rebondissements et de méta-humains en tous genres. Mais, rassurez-vous, d’ici la fin de la première saison, vous saurez tout sur le meurtrier de la mère de Barry, et vous verserez probablement une larme ou deux sur la route ! La deuxième saison a un fil rouge un peu moins soutenu au début mais, au bout de quelques épisodes, la drogue fait de nouveau effet ! Globalement, cette série trouve le moyen de se renouveler tout en conservant les éléments qui font tout son charme. Pour vous dire à quel point j’ai été emballé : j’hésite désormais à regarder les autres séries de l’univers DC Heroes (Gotham, Arrow, Supergirl et DC’s Heroes of Tomorrow) pour comprendre comment tout s’imbrique (oui, je suis un grand malade !) !

 

 

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