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C’est un métier !

Il y a des jours où il ne fait pas bon aller aux toilettes… Croyez-moi !

Car, oui, c’est bien là que m’est venue l’idée de cette série d’articles.

Il se trouve que, dans une ancienne vie, j’ai torturé toutes sortes de gens (auteurs, traducteurs, relecteurs, illustrateurs, maquettistes) pour publier des romans fantastiques et des jeux de rôle.

Et comme je passe mon temps à lire des commentaires de rôlistes se plaignant de la piètre qualité des traductions des jeux et des romans qu’ils achètent, je me suis dit qu’une petite mise au point ne ferait pas de mal… Car ça pourrait être bien pire !

Mais, au lieu de tout vous justifier à coup de « C’est payé une misère ! » ou de « C’est toujours à rendre pour hier », je vais donc vous proposer des exemples concrets.

A chaque billet, je vous proposerai deux textes, respectivement traduits par un amateur et un professionnel qui, pour votre information, ont touché exactement le même chèque.

Pour juger la qualité du travail de chacun, je vous proposerai systématiquement l’extrait en version originale, la traduction brute de fonderie et la version publiée.

 


 

Commençons par le premier chapitre d’un roman Warhammer 40,000… Un roman tout en finesse traduit par un traducteur débutant à l’époque.

NightbringerComme vous pourrez le constater, ce texte a nécessité pas mal de travail de la part du relecteur, et comme le délai de rendu était incompressible, tout le temps qu’il a pris à réécrire ce texte, il ne l’a pas passé à chasser les coquilles !

 

 


 

Pour rester sur la thématique des Seigneurs de la Ruine et de leurs potes, voici un petit poème traduit par un traducteur professionnel.

Bestiaire

Comme vous pourrez le constater, le relecteur s’est gentiment tourné les pouces ! Mais, rassurez-vous, c’est assez rare qu’un relecteur reçoive un texte à ce point exemplaire.

 

 

 

 

 



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